COMPRENDRE LE TSUNAMI DU 25 MAI 2006.

Par Eric Julien, le 3 MAI 2006.

 

Cet article est le troisième sur ma prédiction de méga tsunami dans l’océan atlantique le 25 MAI 2006. Il vise avant toute chose la préservation de la vie des populations côtières autour de l’océan atlantique où tombera probablement un fragment de comète, entraînant le réveil brutal des volcans sous-marins.

 

Nous allons étudier des aspects qui n’ont pas été abordés jusqu’ici dans les précédents articles, à savoir les incidences directes et indirectes de l’impact d’un fragment de comète. Nous évoquerons dans un prochain article les raisons profondes, au-delà des apparences naturelles, qui auront généré cette catastrophe majeure pour que, dans un futur proche, nous décidions au mieux de notre destin collectif. Bien entendu, j’aborderai les conséquences concrètes pour les populations.

 

Rappelons d’abord les faits essentiels qui m’ont poussé à dépenser une très grande énergie à communiquer avec le public sur cet événement futur, dont bien sûr, je souhaite qu’il ne se produise pas. Le 7 avril dernier, j’ai reçu un message télépathique d’entités extraterrestres indiquant que la vision de tsunami géant reçue trois ans plus tôt allait survenir le 25 MAI 2006. J’appris ensuite l’existence d’une comète fragmentée qui, non seulement passait au plus près de la Terre en MAI 2006, mais qui devait passer le plan de l’écliptique le 25 MAI ! J’ai bien entendu la preuve de l’antériorité de ma vision par le dépôt légal de mon second ouvrage[1] qui la présente.

 

Une chance sur des millions pour qu’une telle coïncidence fortuite ait lieu ! C’est autant plus improbable que mes contacts m’avaient également donné l’information du tremblement de Terre de Bam en Iran fin 2003, et même les principes de la Science des Extraterrestres[2], saluée par beaucoup de scientifiques, leur permettant les incroyables exploits que des centaines de milliers observateurs d’OVNI ont rapporté dans le passé. J’ai, par ailleurs, depuis mon premier article sur cet événement, reçu de nombreux témoignages de personnes ayant eu la même vision de vague géante dans l’Atlantique, et en particulier pour fin MAI 2006.

 

J’appelle donc chacun à prier pour une fin heureuse, à visualiser un avenir exempt de malheurs. Ce faisant, j’appelle surtout à l’action. Il faut avant tout prévenir nos concitoyens d’un risque de grande vague – jusqu’à 200 mètres dans les régions les plus exposées – autour du 25 mai 2006, jour de l’Ascension pour les Chrétiens. La majorité d’entre eux sont justement autour de l’Atlantique. Hasard ?

 

Pour éviter toute panique, dans l’hypothèse d’une alerte tardive, les précautions à prendre sont très simples : s’éloigner des côtes et monter sur les hauteurs suffisamment tôt, voire même la veille. Souvenez-vous que ceux qui affirment qu’il ne se passera rien le 25 mai 2006 ne seront pas là pour vous mettre à l’abri le moment venu, vous et ceux que vous aimez. Vous serez surpris, seuls et sans secours. Prévenez les gens autour de vous. Sauvez des vies fin mai 2006 !

 

IL NE S’AGIT PAS DE LA FIN DU MONDE ! Il est seulement question d’une catastrophe majeure dont nous devons minimiser les effets sur la vie des populations.

 

 

 

Quelques rappels.

 

Les astronomes ont connaissance de l’existence d’un certain nombre de fragments de comète mais sont dans l’incapacité technique de tous les dénombrer. Un grand nombre d’entre eux pourrait parfaitement menacer la Terre sans que PERSONNE n’en sache rien quelques jours ou heures avant impact. C’est un fait scientifique irréfutable !

 

On pourra vous perdre dans des conjectures statistiques sur la probabilité d’un tel événement, mais elles auront concrètement au mieux autant de valeur que l’hypothèse inverse. C’est un fait scientifique ! Comme fut un fait scientifique le crash de deux navettes spatiales sur quatre. Elles appartenaient à la NASA d’où sortent les informations principales sur cette comète dont il est dit qu’elle ne représente pas de danger. En terme statistique, deux sur quatre font 50% de perte. Quelques rappels historiques remettent les idées en place.

 

Les astronomes se souviennent de l'astéroïde 2002 MN d’une centaine de mètres qu’ils n’ont pu détecter qu'APRES avoir frôlé la Terre à moins de 120 000 kilomètres à un tiers de la distance entre la Terre et la Lune. Parlons aussi du géocroiseur 2004 FH de 30 m de diamètre, repéré seulement trois jours avant qu'il ne passe à 43 000 kilomètres de notre planète. Ce sont des FAITS.

 

De même, PERSONNE sur cette planète n’a de certitudes quant aux raisons de la fragmentation de la comète 73P / SW-3 en 1995 quelques deux mois après l’apparition de deux crop circles d’une extraordinaire importance pour notre destin commun. Rappelons d’abord qu’un crop circle appelé « galaxie » avait désigné, quelques cinq ans plus tôt, l’une des plus grandes éruptions solaires de notre histoire. Ses auteurs, les extraterrestres, ont donc la capacité de voyager dans le futur. Les crop circles dont je parle, « astéroïde »  et « Terre manquante », ont été suffisamment présentés dans l’article précédent. Disons simplement qu’ils sont la preuve que l’intelligence évoluée qui se cache derrière l’événement du 25 MAI 2006 a prévu, et provoqué longtemps à l’avance, le scénario qui se déroule en ce moment.

 

Après une longue période de guerre froide entre extraterrestres et humains, au travers notamment des abductions et des tests nucléaires, vient ce qu’il convient d’appeler l’Apocalypse, c’est-à-dire la Révélation de leur existence au monde, engendrée par une catastrophe majeure volontairement déclenchée. Ce bouleversement ne constitue pas la fin du monde mais un avertissement destiné à interdire l’usage de nos armes nucléaires qui les agressent dans leur plan d’existence. Les travaux d’un physicien italien[3], Gorgio Fontana, convergent précisément vers l’apport scientifique de mes contacts extraterrestres (cf : la Science des Extraterrestres[4]). Il m’a écrit récemment :

 

« La Relativité Absolue est une réelle variante de la Relativité Restreinte !!! (…) Il se pourrait bien que les effets des explosions nucléaires puissent affecter des millions de mondes parallèles que nous ne pouvons pas voir ».

 

Mais il existe deux factions extraterrestres. L’une d’elles est opposée à cette frappe cométaire. C’est celle que je fréquente par principe éthique. Une image[5] synthétise la course normale de cette comète, fragmentée en 1995 de manière inexplicable.

 

 

 

Les figures ci-après rappellent les conditions d’approche des fragments de la comète 73P / Schwassmann-Wachmann 3 qui, au jour de cet article, sont déjà au nombre de 61. Ces figures sont issues des données obtenues par le site du Programme des Objets Proches de la Terre[6] de la NASA (Near Earth Object Program).

 

 

La représentation ci-dessus est une « photographie » à la date du 14 mai 2006, date à laquelle les plus importants fragments, dont le fragment B ici indiqué, sont réputés être au plus près de la Terre (cercle rouge).

 

 

Cette deuxième illustration montre la position relative des fragments connus dans une vue de dessus. Nous voyons clairement que la trajectoire orange d’un supposé fragment de comète, inobservable pour l’instant, est parfaitement encadrée par les extrêmes (trajectoires des fragments Y et S).

 

 

La vue de profil de ces mêmes fragments ci-dessus permet d’envisager avec plus d’acuité le faible écart angulaire entre les fragments officiellement repérés et un possible fragment empruntant une trajectoire de déviation. Ci-dessous, la figure représente l’orientation de la queue de comète par rapport à la trajectoire du noyau (fragment B et C principalement). Cette orientation est essentiellement due au vent solaire. Dans le cas de SW-3, la queue sera également composée de fragments anormalement gros. La Terre croisera cette queue à partir du 24 MAI 2006. Les risques du 25 MAI sont donc à leur maximum.

 

 

Une étude poussée sur la comète SW-3 a été publiée il y a…un an, en mai 2005[7]. Elle démontre que la Terre devrait essuyer une pluie de météorites en mai 2006 nommée les Herculides Tau, issues justement de la comète SW-3. Beaucoup de comètes ont un long panache que le soleil a créé ou favorisé. Ce panache s’élargit sous l’influence plus ou moins forte de la gravitation des autres planètes, en particulier de Jupiter qui est la plus grosse planète du système solaire. A l’origine, il semble que la comète ait eu une taille de 1,5 kilomètres. L’étude évalue à 64000 le nombre de petits morceaux libérés par SW-3 !

 

Or, entre fin 2002 et mi-2003, au moment où SW-3 fut la plus lente, Jupiter et Saturne ont influencé la comète déjà fragmentée. Les positions relatives de ces planètes font que les fragments ont eu tendance à s’écarter vers l’extérieur de l’orbite elliptique de la comète. Autrement dit, cette action gravitationnelle a fortement favorisé des trajectoires de collision avec la Terre.

 

Sachant que les vitesses d’éjection peuvent atteindre une centaine de mètres par seconde grâce au sursaut exceptionnel que connut SW-3, on peut imaginer que des fragments soient très excentrés. Par exemple, une vitesse latérale d’éjection de 30 mètres par seconde, grâce à l’influence gravitationnelle aggravante évoquée ci-dessus, depuis le début de la fragmentation de SW-3, représente plus de 10 millions de kilomètres entre le noyau principal et un fragment qui aurait été éjecté. Les fragments principaux passeront entre 9 et 12 millions de kilomètres de nous. Nous serons donc exactement  au milieu du nuage de météorites !

 

En dépit des valeurs nominales indiquées dans l’étude citée, choisies dans une distribution gaussienne des fragments autour du noyau principal, de nombreuses inconnues demeurent, notamment la raison de la fragmentation de SW-3. Le fragment S en est un exemple flagrant. Tout le débat scientifique de la collision ou non d’un fragment sur la Terre vient des évaluations primitives, ainsi que l’explique l’étude citée plus haut. Pour faire court, on nous promet la sécurité à grand renfort de communiqués de presse sur la base d’un énorme point d’interrogation initial.

 

Ce point d’interrogation est pour moi d’origine extraterrestre. Bien entendu, aucun modèle mathématique ne s’applique lors d’un acte volontaire ! C’est ce que j’expliquais encore récemment à un physicien qui s’accrochait à Newton. La sécurité de millions de personnes est entre les mains d’une étude théorique, sur la base d’un modèle classique d’éjection des fragments alors que les circonstances à l’origine de ces éjections ne le furent pas (classiques).

 

D’ailleurs, de nouveau et contre toute attente, une fragmentation accélérée a surpris les astronomes pour les fragments B et G fin avril 2006. Mais il y a « mieux ». La NASA a été surprise en flagrant délit de « rafraîchissement opportun » de données ! Plus que troublant, c’est suspect. Après que le communiqué de presse sur la collision du 25 mai 2006 ait été diffusé à l’échelle internationale, et que je sois intervenu le 24 avril sur la radio nationale américaine Coast to Coast AM dans l’émission de Georges Noory, la NASA faisait parvenir le 27 avril dernier un communiqué de presse rassurant le public sur le caractère anodin de cette comète. Elle répondait directement à ma prédiction ! Ce n’était pas pour moi un honneur, mais un plus grand doute. J’en profitais alors pour vérifier les données des fragments sur le site de Near Earth Object Program, émanation de la NASA.

 

Quelle ne fut pas ma surprise de constater que le fragment S, dont j’avais largement signalé le caractère anormal voire dangereux, avait, comme par enchantement au jour du communiqué de presse de la NASA, repris de l’altitude. Et pas qu’un peu : plus de 1,5 millions de kilomètres ! Me disant que cela pouvait éventuellement être normal, je vérifiais les données des fragments M, N, P, Q, et R trouvés tardivement en même temps que le fragment S, le 24 mars dernier. Aucun changement notable ! Par bonheur, j’ai gardé la preuve de cette possible forfaiture illustrée par la figure du fragment S ci-dessous. Elle restera probablement dans les annales.

 

 

On voit bien en bas à gauche une distance de 0,0497 Unité Astronomique. Aujourd’hui, c’est autour de 0,0750 UA, soit près 1,5 millions de kilomètres d’éloignement supplémentaire par on ne sait quelle « nouvelle loi physique ». Deux hypothèses. Soit c’est une erreur que l’on a corrigée et cela signifie que la NASA peut encore faire des erreurs et que, donc, RIEN N’EST SUR ! Les affirmations de la NASA du 27 avril dernier étaient alors péremptoires.

 

Soit il existe une INFORMATION CACHEE AU PUBLIC à propos de certains fragments, et là c’est encore plus grave ! Dans les deux cas, ma vision gagne sérieusement du crédit d’un point de vue purement scientifique. La suite va le confirmer.

 

Récemment encore (vérifié à la date de cet article), des données fort curieuses sont apparues sur le tableau des objets à courtes distances du Near Earth Objet Program[8] :

 

Object

Close-Approach Date
(TDB)
YYYY-mmm-DD HH:MM ± D_HH:MM

Miss Distance
Nominal

(LD/AU)

Miss Distance
Minimum
 Ascending
(LD/AU)

V
relative

(km/s)

V
infinity

(km/s)

N
sigma

H

(mag)

  73P/Schwassmann-Wachmann 3-BD 

2006-May-11 21:53 ±   11:11

33.7/0.0867

0.04/0.00010

14.79

14.78

3

n/a

 

 
 

 

 

 

 

 


Les distances affichées sont 0,04 Lunar Distance ou 0,00010 Astronomical Unit. Ce fragment SW-3BD passerait donc infiniment plus près que l’ensemble des fragments jusqu’alors identifiés puisqu’il devrait être à la date du 11 MAI 2006 au tiers de la distance Terre - Lune. Deux détails soulèvent le doute. Il apparaît à la première ligne sur une liste de 70 objets célestes pour être remarqué ! Mais surtout il passera à 21h53 plus ou moins 11H11. Ce dernier chiffre est connu des ésotéristes pour signifier une synchronicité particulière. Il semblerait donc que celui qui saisit les données au sein du Near Earth Object Program à la NASA veuille lancer un message au monde signifiant : « c’est une erreur volontaire pour montrer que ce tableau est faux ! ». S’il est faux, toutes les hypothèses sont permises, et surtout les pires.

 

 

 

Impact dans l’Atlantique.

 

Dans les images ci-dessous, j’ai souhaité visualiser la trajectoire d’un hypothétique morceau de comète. Ce faisant, j’ai voulu vérifier si ma vision d’éruption de volcans sous-marins de fin d’après-midi au milieu de l’océan Atlantique, à hauteur du tropique du Cancer, correspondait  aux données scientifiques disponibles. J’ai donc reproduit l’angle de rotation de la Terre ainsi que celui de la trajectoire la plus probable d’un fragment en direction de la Terre.

 

A supposer que la nuit vienne juste de tomber en Afrique Occidentale, le lieu de rencontre du géocroiseur serait précisément le milieu de l’Atlantique au niveau du tropique du Cancer ! Bien entendu, la précision du point d’impact est impossible à déterminer en l’état actuel des données disponibles, et ce jusqu’au dernier moment. Le fait remarquable est que la conjugaison des inclinaisons (Terre + fragment de comète) vérifie de façon incroyable ma vision. Toutefois, nous ne pouvons affirmer aujourd’hui si c’est l’océan Atlantique qui fera face au fragment supposé nous percuter. Une chose est certaine : le fragment, attiré par la gravité terrestre et représenté par un cône dans les images ci-dessous, tombera à hauteur du tropique du Cancer ! Sa trajectoire passera bien par le centre de la Terre ainsi que l’exigent les lois de la gravitation. Le sens du mouvement des corps célestes dans les figures ci-après va de droite à gauche, ou de bas en haut.

 

 

 

La trajectoire du fragment en forme de cône croise bien sûr le plan de l’écliptique de la Terre, sur la trajectoire de cette dernière, au moment où notre planète s’y trouve.

 

 

La ligne mauve représente la trajectoire de la Terre autour du soleil qui se trouve virtuellement dans votre dos (sur la première image ci-dessus). La trajectoire jaune est celle du fragment de collision. On aperçoit en grisé le plan de l’écliptique.

 

 

L’un des aspects évidents est que cette trajectoire cométaire est directe, c’est-à-dire quasiment perpendiculaire à la surface de la Terre, impliquant un freinage minimal à travers l’atmosphère, puis à travers l’océan avant de heurter les fonds sous-marins. Son énergie sera donc énorme.

 

Contrairement à ce que laisse supposer ces dernières images, la vague concentrique ne devrait pas être générée directement par l’impact du fragment cométaire, mais par l’éruption explosive d’un ou des volcans sous-marins sur la dorsale médio-Atlantique ayant encaissé l’onde de choc du fragment cométaire. Il se peut qu’un délai conséquent entre impact et éruption existe.

 

 

Le cercle concentrique évoquant le tsunami grossit de façon excessivement simpliste mais figure l’éloignement de la vague géante vers les côtes africaines, américaines, et européennes. Côté jour, en Amérique du Sud, en Amérique Centrale et en Amérique du Nord, les habitants verront la vague arriver. Mais en Afrique, comme en Europe, il fera nuit. Il est même probable que le tsunami touchera les côtes françaises et britanniques le 26 MAI 2006 peu après minuit. Souvenons-nous que le tsunami de Sumatra fit 220 000 victimes dans 11 nations. Celui qui vient pourrait faire 58 millions de victimes dans une cinquantaine de pays.

 

mega tsunami, megatsunami

 

Dans le tableau[9] ci-dessous nous pouvons évaluer la puissance d’un fragment de comète en fonction de sa taille.

 

Tableau 4-2.

Équivalences mégatonnes (MT) de TNT /

magnitudes sismiques (Mw) / énergie en joules

 

 

 

 

 

 

 

MT

Joules

Impacts EGA 20 km/s

 

Mw

Joules

Séismes

0.001

4.2 ´ 10^12

2 m (S, densité 5.0)

 

5.0

2.0 ´ 10^12

séismes journaliers

0.010

4.2 ´ 10^13

 

 

5.5

1.1 ´ 10^13

 

0.10

4.2 ´ 10^14

8 m (M, densité 7.8)

 

6.0

6.3 ´ 10^13

séismes fréquents

1.0

4.2 ´ 10^15

20 m (S, densité 5.0)

 

6.5

3.5 ´ 10^14

 

1.5

6.3 ´ 10^15

 

 

7.0

2.0 ´ 10^15

grands séismes

2.0

8.4 ´ 10^15

toute la gamme

 

7.5

1.1 ´ 10^16

 

5.0

2.1 ´ 10^16

des objets de taille

 

8.0

6.3 ´ 10^16

très grands séismes

10

4.2 ´ 10^16

décamétrique

 

8.5

3.5 ´ 10^17

 

50

2.1 ´ 10^17

 

 

9.0

2.0 ´ 10^18

séismes exceptionnels

100

4.2 ´ 10^17

80 m (M, densité 7.8)

 

9.5

1.1 ´ 10^19

Chili, 1960

1000

4.2 ´ 10^18

200 m (S, densité 5.0)

 

10.0

6.3 ´ 10^19

 

10 000

4.2 ´ 10^19

 

 

10.5

3.5 ´ 10^20

seuls des séismes

100 000

4.2 ´ 10^20

800 m (M, densité 7.8)

 

11.0

2.0 ´ 10^21

consécutifs à des

1 million

4.2 ´ 10^21

2.0 km (S, densité 5.0)

 

11.5

1.1 ´ 10^22

collisions

10 millions

4.2 ´ 10^22

 

 

12.0

6.3 ´ 10^22

peuvent atteindre

100 millions

4.2 ´ 10^23

8.0 km (M, densité 7.8)

 

12.5

3.5 ´ 10^23

ces magnitudes

1 milliard

4.2 ´ 10^24

20 km (S, densité 5.0)

 

13.0

2.0 ´ 10^24

 

Les magnitudes Mw sont celles basées sur le moment sismique

L'énergie en joules est calculée avec la formule : log W = 1.5 Mw + 4.8

 

Le fragment devrait être au minimum d’une mégatonne (soit 50 fois Hiroshima), jusqu’à 10 mégatonnes (500 fois Hiroshima) provoquant un très grand séisme d’une magnitude comprise en 8 et 9. Mais le vrai danger vient de la configuration particulière de la dorsale médio-Atlantique.  En effet, c’est la zone du monde où l’asthénosphère (zone magmatique) est la plus proche de l’écorce terrestre. Autrement dit, toute onde de choc produira une compression du magma qui, sous la pression intense, explosera ensuite en une gerbe gigantesque. Cette poussée verticale entraînera l’eau bien au-dessus de la surface de l’océan si les fonds sont relativement peu profonds, à la manière du moteur à explosion qui repousse le piston violemment par la détente des gaz.

 

Il est remarquable de constater que le tropique du Cancer (situé à 23° Nord), près duquel le fragment de comète devrait s’enfoncer dans l’océan, n’est pas très loin d’un site particulier : Lost City sur la faille Atlantis. Outre la particularité de ce nom mythique (Atlantide), et de ce lieu terriblement évocateur (Lost City), ce site n’est qu’à 700 mètres de profondeur ! Un fragment de comète percuterait donc ici la dorsale médio-Atlantique avec une énergie suffisante pour réveiller la chaîne des volcans sous-marins. A peine 600 kilomètres séparent Lost City du tropique du Cancer. Autrement dit, un très faible écart angulaire pour un objet céleste.

 

La dorsale médio-Atlantique est une longue chaîne de montagnes de 65 000 kilomètres composée de très nombreux volcans. Plus ils sont près de la surface, plus une éruption explosive produira des effets spectaculaires. C’est le cas de Lost City. C’est un site découvert très récemment (2001), peu profond (700 m), qui offre un contexte géochimique particulièrement original selon les travaux réalisés par l’IFREMER lors de la campagne marine EXOMAR.

 

Tropic of Cancer

 

Lost City 700 meters

 

Il est spéculatif de supposer que le fragment de comète tombera précisément à proximité de la faille Atlantis[10]. Néanmoins, cette probabilité est loin d’être nulle et a même de grandes chances de survenir si les volcans doivent être ébranlés au point de les activer comme le suggère ma vision. Il existe plus de 300 000 volcans sous-marins sur Terre, dont une bonne partie sur cette dorsale. La précision de l’impact n’a donc pas beaucoup d’importance. Il est aussi fort probable que plusieurs volcans se mettront en activité le même jour, créant une série de vagues.

 

 

Les figures ci-dessus et ci-dessous montre les plateaux continentaux bordant les terres émergées en couleur claires. Ils auront pour effet de soulever la vague au moment d’approcher les côtes.

 

 

Une étude rapide permettra de se forger une conviction sur le scénario le plus probable. Selon ce dernier, le fragment de météorite impliqué dans l’événement du 25 MAI 2006 viendra percuter la dorsale médio-atlantique mais ne pourra, en aucun cas, engendrer à lui seul le tsunami géant que j’ai vu. Du reste, il est probable que personne ne verra le fragment percuter la planète puisqu’il tombera dans un désert océanique. La vague géante ne pourra être que l’œuvre d’une éruption explosive d’un ou plusieurs volcans sous-marins qui, sous l’énorme pression exercée par l’onde de choc du fragment, expulsera une grande quantité de lave vers la surface, créant ainsi le soulèvement des eaux, ainsi qu’une dépression corrélative.

Les vagues de tsunami se propagent en eau profonde avec une vitesse qui peut dépasser les 800 km/h[11]. Leur longueur d'onde de crête à crête va de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de kilomètres et une hauteur de vague de l'ordre de quelques centimètres à plusieurs dizaines de centimètres, si bien qu'elles sont indétectables à bord de bateaux. Lorsqu'elles atteignent les eaux peu profondes du littoral, les vagues sont freinées, ce qui occasionne la formation d'un "mur" destructeur. Une vague d'un mètre peut alors prendre jusqu'à 16 mètres de hauteur.

Selon le site Futura-Science, « 25 Etats membres participent au système d'alerte au tsunami (T.W.S. = Tsunami Warning System) dans le Pacifique, qui surveille les stations sismiques et marégraphiques réparties dans l'Océan Pacifique afin d'évaluer les potentiels tsunamigéniques des séismes et diffuser l'alerte au tsunami ».

En d’autres termes, nous n’avons AUCUNE SURVEILLANCE pour l’océan Atlantique. Les délais d’alerte seront réduits à très peu de temps. Ainsi que je l’ai indiqué dans un article précédent, seules DES MESURES DE PRECAUTION – s’éloigner des côtes ou monter sur les hauteurs – AVANT L’EVENEMENT permettront se sauver des vies.

Le dernier plus grand tsunami qui occasionna une quantité de morts et de dégâts à travers tout le Pacifique a été engendré par un séisme situé au large de la côte chilienne en 1960. Ce tsunami a provoqué des ravages humains et matériels non seulement sur les côtes du Chili, mais également à Hawaï et plus loin encore au Japon. Nous voyons au-dessus les lignes horaires, c’est-à-dire la position de la vague en fonction du temps passé.

La figure ci-dessus montre la relation existant entre la profondeur du fond océanique, la vitesse de la vague, ainsi que sa taille. Une vague ralentit donc à l’approche des côtes, mais, et cela est bien malheureux, grossit énormément en arrivant sur le littoral. Cela signifie clairement que la seule alerte préventive pour le 25 MAI 2006 viendra de la mesure d’un séisme dont l’épicentre sera situé sur la dorsale Atlantique et ce, MEME SI CE SEISME EST APPAREMMENT FAIBLE.

Ce qui pourrait provoquer la vague géante sera peut-être l’éruption elle-même, et non l’onde du séisme. L’ironie du sort veut que la Commission Océanographique Internationale de l’UNESCO, pour le compte de ses pays membres, commence son PREMIER TEST D’ALERTE AU TSUNAMI…dans le Pacifique : Pacific Wave 06. Ce test, ayant pour but d’évaluer la réactivité des pays, aura lieu le 16 MAI 2006, période du passage au plus près de la comète SW3. Cette commission rappelle : "Il sera clairement indiqué que c’est un test et non une alerte réelle".

L’alerte sera donnée par le centre d’Hawaii. Or, il se trouve que j’habite également Hawaii ! Il est souvent dit qu’il faut faire attention aux signes du destin pour avancer avec précaution. Je crois que le destin mondial est parsemé de signes plus que troublants.

Les images ci-dessous résument le scénario probable du tsunami dans l’ATLANTIQUE, celui que je prédis.

Bien que schématiques, ces figures décrivent la spécificité de l’événement. Pour créer des vagues de 200 mètres sur les côtes, une vague localisée au milieu de l’océan devrait suffire. L’impact n’aura donc pas besoin d’être très puissant. En effet, la faible épaisseur de l’écorce terrestre transmettra facilement l’onde de choc du fragment cométaire au magma qui, sous l’effet conjugué de l’onde de choc et du déplacement du faible contrefort montagneux, sera écrasé dans son logement. Aussitôt après, par pression excessive, une violente explosion magmatique transpercera la montagne pour évacuer la lave à très grande vitesse vers la surface océanique. Une énorme vague se formera alors.

Une recherche montre, en effet, que le volcanisme de dorsale, particulièrement dans le rift central, est très proche des larges poches magmatiques, là où se fait la fusion partielle du manteau[12]. Autrement dit, une onde de choc suffisamment sévère serait à même d’engendrer une réaction en chaîne. L’explosion du Mont Saint-Helens aux USA en 1980 fut équivalente à 27000 bombes atomiques. Le Krakatoa projeta 50 millions de tonnes de cendres dans l’atmosphère en 1883. En février 1953, une éruption majeure d’un volcan sous-marin, accompagnée de projection de produits volcaniques, d’une centaine de mètres de hauteur, a été signalée à proximité des îles Lopévi[13] dans le Pacifique.

Le site français Futura-sciences[14] indique que « les tsunamis, dénommés parfois vagues sismiques océaniques ou incorrectement raz-de-marée sont générés principalement par des séismes, parfois par des glissements de terrains sous-marins, plus rarement par des éruptions volcaniques et exceptionnellement par l'impact d'un gros météorite dans l'océan. Les éruptions volcaniques sous-marines peuvent produire des vagues de tsunami vraiment impressionnantes. La grande éruption du volcan Krakatoa en 1883 a généré des vagues géantes atteignant 40 mètres au-dessus du niveau de la mer, tuant des milliers de personnes et dévastant de nombreux villages côtiers ».

Un second phénomène rendra la situation bien pire. Le réveil des volcans sous-marins s’accompagnera inévitablement d’un grand tremblement de Terre, peut-être de l’ordre de 8 ou 9 sur l’échelle de Richter. Ce tremblement de Terre aura inévitablement de nombreuses répliques. Il impliquera d’autres séismes dans des régions fort éloignées. Très récemment, la Russie et l’Amérique du Sud connurent deux grands séismes d’un ordre de 7/8 sur l’échelle de Richter. Mais nous risquons de connaître ce qu’on appelle, selon Futura-science, un "tsunami earthquake," c'est-à-dire un séisme qui produit un tsunami anormalement puissant par rapport à la magnitude du séisme.

Les "tsunami earthquake" sont caractérisés par des foyers très peu profonds, des failles de quelques mètres et des surfaces de faille plus petites en comparaison à un séisme classique. Ce sont également des séismes lents avec un glissement le long de la faille en dessous du fond sous-marin plus lent que lors d'un séisme classique. Deux autres tsunamis dévastateurs et meurtriers ayant pour origine un "tsunami earthquake" ont eu lieu à Java en Indonésie (le 2 juin 1994) et au Pérou (le 21 février 1996). La dorsale Atlantique connaît très régulièrement de faibles tremblements de terre. On voit sur l’image ci-dessous cette ligne caractéristique[15].

Séismes dans l'Atlantique

Ce prochain séisme au milieu de l’Atlantique sera probablement contagieux et affectera l’ensemble de la dorsale, en particulier la zone des Açores[16]. Mais cette activité sismique pourrait aussi ébranler la zone des Canaries, celle que des chercheurs du Benfield Hasard Research Centre ont étudiée avec soin. Elle pourrait provoquer une très grande vague, due à l’effondrement d’un pan entier de montagne sur la Palma. La hauteur de la vague ainsi créée dépend de nombreux paramètres. Elle pourrait, dans le pire des cas, atteindre 600 mètres de haut à l’arrivée sur les rivages.

On voit nettement sur les figures ci-dessus que le tsunami géant atteindrait les côtes du continent américain en six heures. Mais dans le cas d’une éruption volcanique sous-marine, ce temps est ramené à environ trois à quatre heures. Dans mon prochain article je traiterai notamment de ce qu’il convient de faire pour se protéger en fonction des zones et pays.

Ne le manquez pas sur le site savelivesinmay.com , votre vie, celle de votre famille ou de vos relations, sont peut-être en jeu.

 

 



[1] Enfants des Etoiles, Eric Julien, Editions JMG, Avril 2006.

[2] La Science des Extraterrestres, Eric Julien, Editions JMG, Juillet 2005.

[3] http://www.ing.unitn.it/~fontana/

 http://arxiv.org/abs/physics/0410054 et http://arxiv.org/abs/physics/0511157

[4] La Science des Extraterrestres, Eric Julien, Editions JMG, Juillet 2005.

[5] http://www.space.com/php/multimedia/imagedisplay/img_display.php?pic=060414_comet_map_02.jpg&cap=Sky+Map%3A+The+positions+of+comet+SW-3+at+one-week+intervals+as+of+1+a.m.+local+time+from+mid-northern+latitudes

[6] http://neo.jpl.nasa.gov/cgi-bin/db_shm?sstr=73P

[7] http://adsabs.harvard.edu/abs/2005MNRAS.361..638W

[8] http://neo.jpl.nasa.gov/cgi-bin/neo_ca?type=NEO;hmax=all;tlim=recent_future;dmax=0.1AU;max_rows=200;action=Display%20Table;show=1&sort=dist_min&sdir=ASC

 

[9] http://astrosurf.com/macombes/tableau%204-2.htm

 

[10] http://www.ifremer.fr/

[11] http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier514-2.php

 

[12] http://www.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s1/volcans.html

[13] http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier473-8.php

 

[14] http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier514-3.php

 

[15] http://www-sdt.univ-brest.fr

 

[16] http://www.benfieldhrc.org/tsunamis