DEEP IMPACT FIN MAI 2006 !

Part II

Par Eric Julien, 21 avril 2006.

 

 

 

Cet article fait suite à l’article intitulé « 25 MAI 2006 – Le Jour d’Après ! »[1]. Il apporte de nouveaux éléments de confirmation du danger cométaire imminent qui menace l’humanité et précise les conditions de son avènement autour du 25 MAI 2006.

 

La peur du ridicule est infiniment plus grande que la peur de la mort d’autrui. Comme beaucoup, je croyais que mon premier article allait provoquer la panique. On me l’a même reproché. Pas du tout ! Beaucoup ont très peur, en effet, mais seulement de passer pour fous. J’ai donc décidé d’insister sur des points de détail pour convaincre, pour ouvrir les esprits à cette grande probabilité de collision afin de sauver des vies pendant qu’il en est temps !

 

L’accueil de la nouvelle fut « massif » mais se dispersa dans un large spectre d’opinions, allant du rejet agressif et irrationnel à la fatalité la plus apathique. Mais, me jetant dans un grand état de tristesse, j’ai parfois constaté un total désintérêt pour la vie humaine, celle que chacun peut encore épargner en prenant les mesures conservatoires appropriées. Le tsunami de décembre 2004 à Sumatra[2] - il y a à peine plus d’un an - a-t-il été oublié ? Un petit rappel en images.

 

Global Map AidThe December 2004 Indian Ocean tsunami hits ThailandSidney Morning Herald Look Back

Global Map Aid

 

Attendrons-nous ce genre de scène pour agir et alerter la population de l’imminence d’une possible catastrophe ?

 

Je dois tout de même confesser ma surprise pour les heureuses initiatives qui ont été prises ici et là. Je remercie en tout premier lieu le Docteur Michael Salla, Président d’Exopolitics Institute, qui a eu le courage et la clairvoyance d’accepter mon premier article sur le site de cet institut : http://www.exopoliticsinstitute.org/EricJulien-Fr.htm .

 

Il nous faut garder les pieds sur Terre pour nous préparer à l’épreuve.  En aucun cas il ne s’agit de la fin du monde mais d’une étape décisive dans notre éveil à la solidarité, et pourquoi pas à la fraternité. Le but de ma démarche étant la préservation de la vie dans un esprit d’entraide, je viens partager mes informations et réflexions, comme le ferait n’importe quel citoyen du monde, libre et responsable. Au-delà de ces considérations personnelles, observons attentivement les faits. Voilà tout d’abord à quoi pourra ressembler l’événement dont nous parlons ici.

 

mega tsunami, megatsunami

 

Vous pensez peut-être que votre gouvernement prendra les mesures nécessaires pour faire évacuer les régions à risques ? Il existe très peu de pays ayant osé évacuer une ville ou une région entière, même après l’avertissement de scientifiques réputés. La Chine, par exemple, a réalisé une évacuation de 100 000 personnes en plusieurs semaines à cause d’une prévision de séisme avérée. Il faudrait plusieurs mois pour organiser tranquillement le déplacement de plusieurs millions de personnes. Nous n’avons que quelques jours, bientôt quelques heures. Aucun gouvernement n’annoncera jamais à l’avance l’ampleur d’une catastrophe s’il n’est en mesure d’y faire face. AUCUN !

 

Regardez ce qui s’est passé pour l’ouragan Katrina en Louisiane…

 

La seule façon réaliste de faire face à une catastrophe de cette magnitude – vagues de deux cent mètres de haut - est la solidarité entre les êtres humains en s’informant les uns les autres, en donnant des consignes simples comme monter le plus haut possible, partir le plus loin des côtes…sans oublier ses proches, ses amis, ses voisins et ses animaux familiers.

 

Des signes avant-coureurs vous préviendront du danger imminent : fuite des animaux, bruits sourds, vent anormaux, marée basse anormale et même certainement apparition d’OVNI ! Mais n’attendez pas le dernier moment, vous risqueriez le piège mortel de l’embouteillage. Profitez d’un long week-end loin de la plage. Une chance, le 25 MAI 2006, c’est…l’Ascension !

 

 

 

Une comète sous influence.

 

Tout est parti d’un contact nocturne au cours duquel j’eus une réponse : 25 MAI 2006 ! Je n’ai pas la place ici de développer les arguments qui plaident en faveur de l’existence d’autres réalités de l’univers auxquelles l’homme peut accéder, ni de convaincre chacun que certaines facultés psychiques sont accessibles à tous à condition de s’y préparer. Cela nécessiterait d’aborder des considérations épistémologiques et perceptives en physique de pointe, notamment à l’endroit des théories de la relativité d’Einstein et de la physique quantique, que très peu comprennent en profondeur. Voici un simple schéma explicatif, mais réducteur, de la toute nouvelle Relativité Absolue sur laquelle j’ai travaillé, aidé de mes amis extratemporels. La reconnaissance de mes travaux[3] par des physiciens et des mathématiciens autorise cette hauteur de vue.

 

 

 

 

Une revue bibliographique des cas avérés de perceptions extrasensorielles ressemblerait à une longue litanie. Du reste, la police, dans certaines de ses investigations, ne s’encombre pas du dédain ou de la frilosité faussement intellectuelle lorsqu’elle fait appel aux facultés des médiums chevronnés pour résoudre ce qui semble insoluble. Ces hommes de terrain, et de loi, qui entretiennent ce partenariat insolite ne s’intéressent qu’aux résultats, pas aux débats spécieux.

 

Si la police résout ainsi des affaires criminelles au point d’éviter d’autres forfaits, les autorités compétentes pourraient tout autant anticiper un drame annoncé. C’est ce que je demande aux décideurs en charge de la sécurité et des catastrophes naturelles dans leur pays. Il est capital d’évacuer les populations concernées suffisamment tôt, ou tout au moins de s’y préparer d’un point de vue logistique.

 

J’avais prédit par exemple, en septembre 2003, le terrible tremblement de Terre du 26 décembre 2003 ayant fait plus de 40 000 morts à Bam…en Iran. J’avais indiqué qu’une catastrophe majeure allait survenir fin décembre 2003, début janvier 2004. Les répliques durèrent trois semaines ! Un autre tremblement de terre eût lieu quelques jours tard au Maroc. J’avais évoqué, dans la même prédiction, un lien avec la Méditerranée.

 

Cette méditation nocturne du 7 avril 2006 m’a donc conduit à recevoir de la part de créatures que je qualifie d’extratemporelles une date - celle du 25 MAI 2006 - liée à une vision extrêmement lucide de catastrophe géante quelques trois ans plus tôt. J’ai dûment consigné cette vision[4], comme d’autres à venir, dans un ouvrage[5] paru récemment. Puis, ayant parlé de cette communication dans un forum français[6], j’y appris qu’une comète fragmentée, 73P/Schwassmann-Wachmann 3 (SW-3), devait précisément passer très près de la Terre en Mai 2006, et que le 25 de ce mois correspondait justement au croisement, par la comète fragmentée, du plan de l’écliptique sur lequel se trouve la Terre.

 

Cette surprenante « coïncidence », dont la probabilité avoisine une chance sur quelques millions, doit être examinée dans le détail. Rappelons que la fragmentation de la comète SW-3 eût lieu en 1995 dans des conditions étranges et que seuls trois fragments furent aperçus. Depuis cette date la comète a réalisé deux révolutions elliptiques autour du soleil.

 

Voici un commentaire de Philippe Morel de la Société Astronomique de France[7] : « le 6 juin 2006 elle entrera à nouveau dans le cercle très restreint des comètes dont la distance la plus proche de la Terre sera inférieure à 15 millions de kilomètres. Habituée des passages au plus près de la Terre la comète Schwassmann-Wachmann 3 (SW3) nous avait approchés à la distance de 0.0617 Unité Astronomique (UA) en 1930. »

 

Liste des passages de 73P/S-W 3, période 1925-2011

 

Date du Périhélie

Périgée

Distance

Remarque

Désignation

1925 Janvier 15.217

 

 

 

 

1930 Juin 14.198

31.75 Mai 1930

0.0617 UA

fort périgée

découverte

1930 VI

1935 Novembre 08.016

 

 

inobservée

 

1941 Avril 06.053

 

 

inobservée

 

1946 Septembre 07.972

 

 

inobservée

 

1952 Février 15.823

 

 

inobservée

passe à 0.744 UA de Jupiter le 17 Octobre 1953

 

1957 Septembre 22.717

 

 

inobservée

 

1963 Mai 15.434

 

 

inobservée

 

1968 Octobre 23.803

 

 

inobservée

passe à 0.283 UA de Jupiter le 20 Novembre 1965

 

1974 Avril 05.110

12 Mars 1974

1.1089 UA

inobservée

 

1979 Septembre 02.780

30 Septembre 1979

1.0504 UA

redécouverte

1979 VIII

1985 Janvier 11.420

06 Janvier 1985

1.8774 UA

inobservée

 

1990 Mai 19.302

17 Avril 1990

0.3668 UA

 

1990 VIII

1995 Septembre 22.890

17 Octobre 1995

1.3131 UA

fragmentation

1994w

2001 Janvier 27.716 *

18 Janvier 2001

1.7978 UA

 

 

2006 Juin 06.957 *

12 Mai 2006

0.07863 UA

fort périgée

 

2011 Octobre 16.756 *

 

 

 

 

* Fragment C

 

Il existe 175 comètes référencées à courte période[8], dont la plus célèbre est la comète de Halley. Le tableau ci-dessus[9] montre les passages au plus près de la comète SW-3. Ayant été découverte en 1930 par Arnold Schwassmann et Arno Arthur Wachmann en Mai 1930, on voit en effet qu’elle passa au plus près en 1930. Mais en mai 2006, le passage au plus près est, pour le fragment S qui va nous intéresser, estimé à 0,0487 UA (7,3 millions de kilomètres). Il est vrai que la majorité des fragments devrait passer en moyenne à 0,065 UA, mais il suffit d’UN SEUL FRAGMENT pour déclencher un événement majeur. Que dire donc du cercle restreint des comètes à moins de 8 millions de kilomètres ?

 

Seuls deux passages à 0,03 UA pour Halley (837 après JC), et 0,04 UA pour C/1132 T1 (1132) ont fait mieux que le fragment S de SW-3 ! Mais elles n’étaient pas fragmentées, et donc non susceptibles de dévier, par gravitation, vers la Terre.

 

En mai 2006, SW-3 sera non seulement parmi les rares à s’approcher aussi près de la Terre, mais aussi parmi les comètes ayant connu la plus grande magnitude jamais atteinte. Il se trouve que c’est la première fois qu’une comète fragmentée croise notre route à aussi courte distance. C’est donc la première fois dans l’histoire connue qu’un tel événement aura lieu. Les prédictions des astronomes ne sont donc fondées sur aucun acquis scientifique historique dans le cas très précis qui nous occupe.

 

De plus en plus, on évoque la probabilité d’une pluie de météorites autour de fin mai, début juin 2006. Curieux…En 1930, au passage de SW-3, pourtant beaucoup plus loin qu’à la prochaine mi-mai, et sans la fragmentation que nous connaissons aujourd’hui, la Terre eut jusqu’à 70 fragments par heure. Ils étaient assez petits pour brûler en haute atmosphère.

 

Il existe une comète ayant connu une fragmentation et s’étant transformé en essaim de météorites : 3D / Biela[10]. C’est en 1852 qu’elle fut observée pour la dernière fois. Elle se sépara en deux fragments visibles pendant trois mois en 1846. Le moment le plus favorable pour son observation fut l’année 1865 à une distance de 0,481 UA soit DIX FOIS PLUS LOIN que le fragment S de SW-3 !

 

A propos de 3D / Biela, on sait aujourd’hui que : « en 1872, année correspondante à un nouveau retour, un nouvel essaim de météorites, les Andomédides, fit son apparition (3.000 météorites par heure le 27 Novembre). Les calculs montrèrent son affiliation à la comète Biela. L'essaim se manifesta de nouveau en 1885 (15.000 météores/heure), en 1892 (6.000 météores/heure), puis en 1899 (150 météores/heure). »[11]

 

150, 3000, 6000 et même 15000 météorites par heure ! Un ciel étoilé en plein jour ! Que dire des météorites de SW-3 dix fois plus proche ? Indiquons que cette comète SW-3, de la famille des comètes de Jupiter, fut l’objet d’un grand intérêt par la communauté scientifique internationale, en particulier en décembre 1994 puisqu’elle fut parmi les rares objectifs du programme de prospection de la sonde d’exploration Rosetta de l’ESA[12]. Des séries de clichés mensuels furent produits jusqu’en juin 1995. 

 

C’est justement le 25 juin 1995 qu’apparut le crop circle, ou cercle de culture, appelé « Terre manquante » à Longwood Warren dans le Comté du Hampshire en Angleterre. Ce crop circle gigantesque montre le système solaire intérieur, jusqu’à la ceinture d’astéroïdes, moins la Terre. Notons, pour les sceptiques, que des amateurs de canular avaient tenté de reproduire à l’identique ce cercle de culture sans y parvenir[13].

 

 

Sachant que les planètes, ainsi que la comète, tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre sur ces dessins, cet agroglyphe semble faire référence à la situation du système solaire le 14 MAI 2006 au moment du passage au plus près de la comète SW-3.

 

 

Mais ce que les créateurs de ce crop circle semblent vouloir dire est que cette date précède en fait la bonne date puisque Mars, dont l’orbite est la première visitée par le géocroiseur, est en amont de sa position au moment de l’impact que suggère la « Terre manquante ».

 

Après l’apparition du cercle de culture fin juin 1995, SW-3 sera vue pour la dernière fois dans son état normal par un astronome amateur japonais le 20 août 1995[14]. C’est début septembre, deux mois seulement après l’apparition du crop circle « Terre Manquante », que SW-3 est prise d’un brusque et violent sursaut[15], précisément au moment de passer le plan de l’écliptique de la Terre. Un communiqué de presse de janvier 1996[16] annonça que l’observatoire de Paris Meudon, à l’aide du radiotélescope de Nancay, fit une campagne de mesures sur l’émission par la comète de molécules d’hydroxyle du 8 au 12 septembre 1995. Les valeurs furent complètement anormales au moment où SW-3 croisait notre plan de l’écliptique.

 

Dans une ronde de près de 2,5 milliards de kilomètres, c’est au voisinage de l’orbite terrestre – dans un intervalle représentant moins de 1% de sa trajectoire - que SW-3 fut brisée, avant d’illuminer le ciel et de se faire remarquer…

 

Hasard ? Ce sursaut lumineux atteindra une magnitude mille fois supérieure à la normale en octobre 1995, après avoir passé par son périhélie et avoir navigué parallèlement pendant plusieurs millions de kilomètres à l’orbite terrestre. Briser une comète au moment de son passage virtuel au plus près de la Terre n’est-ce pas un symbole explicite ? Ne serait-ce pas un message exopolitique d’une grande clarté ?

 

 

Curieusement, un site Internet nous apprend que[17], « la comète était l'une des cibles de la mission Contour (Comet Nucleus Tour), prévue pour Juillet 2002. La sonde devait partir en direction de 3 comètes (survol de 2P/Encke en Novembre 2003, de 73P/Schwassmann-Wachmann 3 en Juin 2006, et de 6P/d'Arrest en Août 2008) pour les analyser et les comparer. Malheureusement, une défaillance technique provoqua la destruction de la sonde peu après son envol ».

 

Une défaillance technique ?

 

Jusqu’à aujourd’hui personne n’a d’explication définitive sur ce sursaut cométaire, et sur cette fragmentation de SW-3. La comète étant constituée de glace, le soleil vaporise une partie de sa surface à l’approche du périhélie – point le plus proche du centre de révolution, c’est-à-dire le soleil – et l’habille d’une queue de lumière. Mais depuis des siècles SW-3 tournait autour du soleil selon la même trajectoire sans se désintégrer ! Le cœur d’une comète reste fondamentalement rigide et extrêmement froid. La seule explication admissible, pour la communauté scientifique, est donc la collision de SW-3 avec un petit astéroïde. Mais cette explication pose de nombreux problèmes. Et c’est un euphémisme.

 

La mystérieuse comète se trouve, au moment de ce sursaut, à des centaines de millions de kilomètres de la ceinture d’astéroïdes. Quelles sont les chances d’une collision entre deux petits objets isolés, dans le vide interplanétaire, sans réelle influence gravitationnelle respective ? Presque nulle ! Imaginez deux boules de billard lancées aléatoirement sur une table grande comme les Etats-Unis. Elles ont plus de chances d’entrer en collision que n’en eût SW-3 avec un improbable vagabond. On opposera l’idée qu’il existe près de 800 objets qualifiés de Potentially Hazardous Asteroids (astéroïdes potentiellement dangereux). Mais les chances d’une telle collision dans un segment déterminé – celui qui est montré en rouge dans le schéma ci-dessus – sont très proches de zéro.

 

A supposer qu’une telle collision ait tout de même eu lieu miraculeusement, comment expliquer une telle magnitude pour un si « petit » objet ? Il a fallu une énergie colossale pour déployer une valeur mille fois supérieure à la normale. Bien sûr, la fragmentation, en soi rarissime, a favorisé temporairement une plus grande magnitude lumineuse à l’approche du soleil, mais certainement pas dans les valeurs évoquées. Le communiqué de presse de l’Agence Spatiale Européenne[18] en janvier 1996 est clair :

 

« Seules quelques rares comètes ont fait l’expérience d’une augmentation de luminosité aussi grande et inattendue. Au moment de cet événement, SW-3 venait juste de passer son périhélie après avoir croisé l’orbite terrestre dans sa trajectoire d’éloignement. La distance la séparant de la Terre était proche de 200 millions de kilomètres ».

 

Si cette fragmentation était seulement due au soleil nous aurions, parmi les 175 comètes existantes, une majorité d’entre elles dans un état normal de fragmentation. Elles ne vivraient donc pas des siècles, et même des millénaires. Or, les comètes fragmentées sont très rares. La fragmentation de SW-3 a donc été « facilitée » de manière artificielle, tout comme ce fut probablement le cas de 3D / Biela ayant connu exactement les mêmes conditions de destruction à proximité de l’orbite terrestre.

 

3D / Biela fut probablement détruite parce qu’elle représentait un danger dans le futur. Elle devait potentiellement passer au plus près en décembre 1905 (0,0616 UA). Cette possible collision serait venue beaucoup trop tôt dans notre histoire, en particulier dans l’histoire de l’arme atomique, au moment où nous n’avions pas encore fait de choix décisif. Il s’agissait probablement d’un travail « routinier » de nettoyage céleste de la part de nos « jardiniers » extraterrestres présents, eux, depuis des lustres à nos côtés, contrairement aux extraterrestres de la nouvelle ère OVNI débutée en 1945.

 

L’activité du soleil a-t-elle été exceptionnelle dans la phase du périhélie pour produire ou favoriser cet éclatement de SW-3 ? Non, au contraire ! Nous sommes dans la période la plus stable et sans éruption solaire, à la fin du cycle de onze ans commencé en 1986 et se terminant en 1996. C’est au milieu des cycles que les éruptions solaires sont les plus intenses, comme le montre le graphique ci-dessous dans différentes longueurs d’ondes. Contrairement aux idées reçues, l’énigme est donc loin d’être triviale. C’est un mystère insondable.

 

 

Ce sursaut cométaire fut, pour moi et conformément à mes communications avec elle, provoqué par une intelligence évoluée ayant une parfaite connaissance de la mécanique céleste et du voyage dans le temps. Cette intelligence a littéralement mis la comète en morceaux, en chauffant artificiellement son cœur, et après avoir eu connaissance d’un futur devenu extrêmement probable, à savoir l’accession au pouvoir des dirigeants, et conseillers de dirigeants, actuels.

 

Les extraterrestres ont la capacité d’aller et de venir dans le temps lorsqu’ils atteignent les hautes densités temporelles. J’explique le principe du temps fractal dans ma première contribution littéraire[19]. Cette faculté est également partagée par les authentiques voyants, ainsi que chacun d’entre nous lors des rêves prémonitoires. Les actuels dirigeants se préparent à faire un usage massif des armes nucléaires auxquelles ces intelligences sont opposées pour raisons de sécurité.

 

Dans les hautes densités temporelles, occupées par les extraterrestres, les armes atomiques produisent des effets dévastateurs jusqu’à des centaines d’années-lumières. L’énergie qui se propage dans notre monde matériel, à l’occasion d’une explosion thermonucléaire, est récupérée d’un espace-temps auquel l’univers macroscopique dans lequel nous vivons n’a normalement pas accès.

 

Et puisque nous venons de parler du soleil, sachez qu’une bataille scientifique émergente fait rage pour déterminer la vraie nature de l’activité solaire que l’on pensait jusqu’alors thermonucléaire.

 

Pour une raison a priori incompréhensible, la température de la couronne solaire est très supérieure – 2 millions de degrés – à la température de surface – 6000 degrés Kelvins. Or, la théorie voudrait que ce soit le cœur de l’étoile qui soit extrêmement chaud par compression gravitationnelle, engendrant une fusion nucléaire. Mais nous n’en avons aucune preuve formelle et directe. Nous avons même des indices forts du contraire. Pourquoi parler de la nature du soleil alors que nous sommes préoccupés par un méga tsunami sur Terre devant survenir le 25 mai prochain ?

 

S’il n’y a pas d’explosions thermonucléaires dans le soleil alors nos propres tests atomiques, étalés sur cinquante ans, ont eu[20] et auront une incidence considérable sur les autres espaces-temps de l’univers, dans les autres réalités du monde. Imaginez alors l’emploi systématique d’armes nucléaires dans la guerre que certains gouvernements préparent.

 

Les extratemporels sont nos voisins, non pas de l’espace, mais de l’espace-temps. C’est peut-être complexe à comprendre mais c’est une réalité que les meilleurs physiciens de cette petite et fragile planète bleue ne pourront écarter d’un revers de main. Ils connaissent sur le bout des doigts les limites théoriques des modèles scientifiques actuels. Maintenant, nous ne sommes plus dans la théorie mais dans le monde réel.

 

Il n’est absolument pas question ici de préférence culturelle, ni de choix politique partisan. Il est question d’une civilisation planétaire, la nôtre, en contradiction avec les principes d’interférence vis-à-vis d’autres mondes. Ce n’est pas eux qui interfèrent en venant nous voir, mais nous qui interférons en les matérialisant, au moyen des essais nucléaires notamment, dans notre monde physique !

 

J’entends ici et là que la « Confédération Galactique » n’autoriserait jamais une agression d’extraterrestres contre la Terre, ni…une intervention directe de nos alliés extraterrestres au nom d’une loi de non ingérence gravée dans le marbre de l’évolution. Quelle vision anthropocentrique ! Mais surtout n’y a-t-il pas un paradoxe majeur ? Nous sommes, je le crains, les envahisseurs des civilisations stellaires avancées, mais aussi de mondes purement spirituels. En faisant exploser les armes atomiques, nous provoquons une forme d’ouragan temporel dont l’œil avalerait le monde des âmes. Si nous lançons les bombes, ils lanceront les comètes.

 

En effet, le Ciel est infiniment plus habité que la Terre. Nous le comprendrons nous-mêmes une fois que nous y serons ! Peut-être ferions-nous la même chose. Ce n’est pas une guerre entre extraterrestres et humains, mais entre ExtraTemporels et Consciences Matérialisées, voire matérialistes. Peut-être nos propres aïeux sont-ils, là où ils sont, favorables à cette réponse brutale. 90% de la population de cette planète croient en l’existence d’une vie après la mort. Mais pas 1% ne sait à quoi elle ressemble. Je crois utile que nous gravions ceci dans nos mémoires.

 

 

 

Comment va se comporter la comète fragmentée SW-3 ?

 

Voici un tableau de données que j’ai réalisé sur la base des simulations de trajectoires et positions accessibles sur le site Internet du Near Earth Objects Program[21]. On y trouve essentiellement des informations de distances et de dates.  Les lignes en rouge indiquent les quatre « groupes » de fragments.

Comet 73P/Schwassmann-Wachmann 3

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Date of

Distance of the

closest point

Distance

MAY 14, 2006

Distance MAY 25, 2006

Date

at the

Distance at

the ecliptic plane

 

 

closest point

 

 

millions

 

 

millions

 

millions

Ecliptic

plane

 

 

millions

 

 

MAY

UA

LD

kms

UA

LD

kms

UA

kms

MAY

UA

LD

kms

 

A

2

0,165

73,9

24,7

0,203

90,9

30,4

0,278

41,6

18

0,228

102,1

34,1

 

B

14

0,067

30,0

10,0

0,067

30,0

10,0

0,112

16,8

25

0,112

50,2

16,8

 

C

12

0,0787

35,2

11,8

0,0788

35,3

11,8

0,133

19,9

24

0,127

56,9

19,0

 

E

16

0,0572

25,6

8,6

0,0596

26,7

8,9

0,0939

14,0

26

0,101

45,2

15,1

 

G

15

0,0651

29,2

9,7

0,0653

29,2

9,8

0,109

16,3

25

0,109

48,8

16,3

 

H

15

0,0629

28,2

9,4

0,0634

28,4

9,5

0,105

15,7

25

0,105

47,0

15,7

 

J

15

0,0644

28,8

9,6

0,0646

28,9

9,7

0,108

16,2

25

0,108

48,4

16,2

 

K

15

0,065

29,1

9,7

0,103

46,1

15,4

0,103

15,4

26

0,109

48,8

16,3

 

L

15

0,0623

27,9

9,3

0,063

28,2

9,4

0,104

15,6

26

0,110

49,3

16,5

 

M

15

0,0659

29,5

9,9

0,0668

29,9

10,0

0,105

15,7

26

0,112

50,2

16,8

 

N

15

0,0613

27,5

9,2

0,0616

27,6

9,2

0,104

15,6

25

0,104

46,6

15,6

 

P

14

0,0673

30,1

10,1

0,0673

30,1

10,1

0,113

16,9

25

0,113

50,6

16,9

 

Q

14

0,0698

31,3

10,4

0,0698

31,3

10,4

0,116

17,4

25

0,116

52,0

17,4

 

R

15

0,0634

28,4

9,5

0,0636

28,5

9,5

0,107

16,0

25

0,107

47,9

16,0

 

S

27

0,0487

21,8

7,3

0,0882

39,5

13,2

0,0497

7,4

34

0,064

28,5

9,5

 

 

T

16

0,0622

27,9

9,3

0,0642

28,8

9,6

0,102

15,3

26

0,109

48,8

16,3

U

14

0,0568

25,4

8,5

0,0568

25,4

8,5

0,11

16,5

24

0,103

46,1

15,4

V

14

0,0607

27,2

9,1

0,0607

27,2

9,1

0,114

17,1

25

0,114

51,1

17,1

W

15

0,0606

27,1

9,1

0,0617

27,6

9,2

0,1

15,0

26

0,107

47,9

16,0

X

16

0,0599

26,8

9,0

0,0612

27,4

9,2

0,0985

14,7

26

0,105

47,0

15,7

Y

10

0,0623

27,9

9,3

0,0742

33,2

11,1

0,165

24,7

20

0,119

53,3

17,8

 

 

A la date du 14 mai 2006, nous devrions voir la configuration indiquée ci-dessous. Les figures qui suivent sont une reconstitution que j’ai réalisée par pointage systématique pour synthétiser les positions relatives des fragments.

 

 

 

Que voyons-nous de remarquable ? Trois éléments essentiels apparaissent clairement pour notre compréhension de l’enjeu. Ce qui frappe d’abord est l’existence de trois trajectoires cométaires différentes. Ensuite, nous apercevons quatre « groupes » d’objets : A, Y, B-X et S. Enfin,  les distances entre « groupes » sont très grandes. Par exemple, 25 millions de kilomètres séparent le fragment A du fragment S. Il faut indiquer qu’à la date du 18 avril un vingt-deuxième fragment est apparu, le fragment Z. Il n’est pas mentionné ici mais appartient au groupe de B à X.  De même, le 19 avril, treize autres fragments, notés de AA à AM, firent leur apparition en étant issu de ce même groupe B-X.

 

J’appelle les fragments A, Y et S « groupe de fragments » pour deux raisons. D’abord parce nous ignorons l’existence de fragments inobservables car trop petits autour de ces fragments principaux. Ensuite parce qu’en approchant de la Terre, ces fragments A, Y et S vont très certainement se fragmenter eux-mêmes.

 

En effet, la chaleur du soleil agira sur la comète comme sur un glaçon qui fond lentement dans un verre d’eau. Il se fragmentera tôt ou tard. Néanmoins, l’année 2006 est une période particulièrement calme pour l’activité solaire puisque nous sommes au milieu du cycle de onze ans. Les éruptions solaires seront inexistantes. La vaporisation restera relativement lente. D’un autre côté, des fragments plus petits, inobservables pour l’instant, pourront également perdurer jusqu’au périhélie de la comète se trouvant bien après la Terre. Sauf si, bien sûr, l’un d’eux heurte notre planète.

 

C’est justement le scénario de ma vision. Don Yeomans, Chef du Near Earth Objects Program à la NASA, affirma dans une interview datée du 24 mars 2006[22] :

 

« C’est une rare opportunité d’observer une comète à l’agonie – à une très faible distance. Il n’y a aucun danger de collision. Mon Dieu, non. Le fragment le plus proche sera à six millions de milles de là (9,7 millions de kms) – ou vingt-cinq fois plus loin que la lune ».

 

Or, au moment même où cette interview était donnée, le fragment S fut observé le 24 mars 2006 au Mont Lemmon Survey. Il est estimé passer à 7,3 millions de kilomètres ainsi que le montre le tableau ci-dessus, et non pas à 10 millions de kilomètres comme annoncés partout. Il est probable qu’au moment où j’écris cet article d’autres fragments sont estimés à une distance plus faible encore. Si ce n’est déjà fait, ce sera bientôt le cas.

 

Le problème est que nous ne découvrons les fragments de plus faible taille qu’au dernier moment en vertu d’un principe facile à comprendre. La magnitude lumineuse d’un objet augmente à mesure qu’il se rapproche de nous. Ainsi, les plus petits objets, jusqu’alors invisibles, ne sont observés que quelques jours, voire quelques heures avant qu’ils ne nous croisent. Souvent, d’ailleurs, ils entrent dans notre atmosphère. Mais ils sont trop petits et se désintègrent en haute altitude. C’est le principe même des pluies de météorites.

 

Dans le cas qui nous intéresse nous avons affaire à une comète. C’est un objet rapide, possédant donc une grande énergie. Nous voyons dans le tableau de la NASA ci-dessous que les vitesses relatives d’approche sont de l’ordre de 15 kilomètres par seconde pour SW-3 (73P/Schwassmann-Wachmann 3). Si le fragment est suffisamment gros, son inertie sera grande et l’attraction terrestre n’aura qu’une faible influence, en particulier s’il est loin comme c’est le cas du groupe B-X. En revanche, s’il est assez petit, la Terre l’attirera vers elle. C’est le cas de la vision que j’ai eue.

 

En observant attentivement le tableau des objets les plus proches – tableau visible sur le site de la NASA[23] - nous voyons les objets déjà passés - dans le premier tableau les objets s’éloignent de nous - et à venir – dans le second tableau les objets se rapprochent de nous. Les astéroïdes 2006 HG et 2006 GB1 du second tableau par exemple, d’une taille approximative de 50 mètres, ne sont annoncés que peu de temps avant croisement. Plus on va loin dans le futur (second tableau), plus les objets sont gros, à quelques rares exceptions près. Mais ces deux objets HG et GB1 n’ont qu’une vitesse d’environ 5 km/s. Aucun danger.

 

De même, il n’est pas étonnant de voir dans le passé proche (premier tableau) bien plus de petits objets (2006 GU2, EY, FH, GC). Mais cela ne signifie pas pour autant que nous avons vu tous les objets ayant croisé très près la Terre ! C’est la raison pour laquelle les astronomes annoncent souvent des croisements dangereux après coup !

 

 

 

RECENT CLOSE APPROACHES TO EARTH

1 AU = ~150 million kilometers
1 LD = Lunar Distance = ~384,000 kilometers

Object
Name

Close
Approach
Date

Miss
Distance
(AU)

Miss
Distance
(LD)

Estimated
Diameter*

Relative
Velocity
(km/s)

(2006 DT14)

 2006-Mar-31

0.1891

73.6

290 m - 660 m

17.80

(2006 GU2)

 2006-Apr-01

0.0067

2.6

7.4 m - 17 m

7.46

(2003 BD44)

 2006-Apr-02

0.1821

70.9

1.3 km - 2.8 km

21.10

(2006 EY)

 2006-Apr-05

0.0498

19.4

25 m - 55 m

4.39

(2005 QE30)

 2006-Apr-08

0.1101

42.9

950 m - 2.1 km

17.65

(2005 QY151)

 2006-Apr-12

0.0890

34.7

790 m - 1.8 km

11.97

(2004 WG1)

 2006-Apr-15

0.0826

32.2

840 m - 1.9 km

17.07

(2006 FH)

 2006-Apr-15

0.0479

18.7

37 m - 83 m

6.68

(2006 GC)

 2006-Apr-16

0.0419

16.3

34 m - 77 m

12.25

(2005 TF49)

 2006-Apr-16

0.0517

20.1

420 m - 940 m

12.50

* Diameter estimates based on the object's absolute magnitude.

UPCOMING CLOSE APPROACHES TO EARTH

1 AU = ~150 million kilometers
1 LD = Lunar Distance = ~384,000 kilometers

Object
Name

Close
Approach
Date

Miss
Distance
(AU)

Miss
Distance
(LD)

Estimated
Diameter*

Relative
Velocity
(km/s)

(2004 RQ252)

 2006-Apr-21

0.1307

50.9

90 m - 200 m

15.66

(2006 HC)

 2006-Apr-24

0.0245

9.5

21 m - 47 m

4.26

(2001 SG276)

 2006-Apr-26

0.0900

35.0

770 m - 1.7 km

14.69

(2006 GB1)

 2006-Apr-27

0.0377

14.7

37 m - 84 m

7.70

(2004 GU9)

 2006-Apr-30

0.1684

65.5

150 m - 340 m

7.00

(2003 SN214)

 2006-Apr-30

0.1779

69.2

69 m - 150 m

15.47

(2000 EM26)

 2006-May-02

0.1092

42.5

120 m - 270 m

10.42

(2002 CD)

 2006-May-03

0.1181

45.9

230 m - 510 m

8.58

41429 (2000 GE2)

 2006-May-10

0.1826

71.1

250 m - 550 m

11.39

73P/Schwassmann-Wachmann 3

 2006-May-11

0.0824

32.1

n/a

15.15

73P/Schwassmann-Wachmann 3-C

 2006-May-12

0.0786

30.6

n/a

15.04

(2005 YA37)

 2006-May-13

0.1287

50.1

87 m - 190 m

7.72

68950 (2002 QF15)

 2006-May-13

0.1253

48.7

1.5 km - 3.4 km

14.04

(2004 BF68)

 2006-May-13

0.0991

38.6

340 m - 760 m

8.68

73P/Schwassmann-Wachmann 3-P

 2006-May-14

0.0673

26.2

n/a

14.68

73P/Schwassmann-Wachmann 3-U

 2006-May-14

0.0568

22.1

n/a

15.19

73P/Schwassmann-Wachmann 3-B

 2006-May-14

0.0669

26.0

n/a

14.69

73P/Schwassmann-Wachmann 3-V

 2006-May-14

0.0606

23.6

n/a

15.89

73P/Schwassmann-Wachmann 3-G

 2006-May-14

0.0650

25.3

n/a

14.63

73P/Schwassmann-Wachmann 3-J

 2006-May-14

0.0643

25.0

n/a

14.59

73P/Schwassmann-Wachmann 3-R

 2006-May-14

0.0634

24.7

n/a

14.54

73P/Schwassmann-Wachmann 3-N

 2006-May-14

0.0613

23.9

n/a

14.35

(1997 MW1)

 2006-May-14

0.1335

52.0

380 m - 850 m

12.44

73P/Schwassmann-Wachmann 3-H

 2006-May-14

0.0628

24.5

n/a

14.55

73P/Schwassmann-Wachmann 3-L

 2006-May-15

0.0623

24.2

n/a

14.55

73P/Schwassmann-Wachmann 3-M

 2006-May-15

0.0658

25.6

n/a

14.86

73P/Schwassmann-Wachmann 3-T

 2006-May-15

0.0621

24.2

n/a

15.25

(2006 GY2)

 2006-May-16

0.0171

6.7

500 m - 1.1 km

19.37

73P/Schwassmann-Wachmann 3-E

 2006-May-17

0.0505

19.6

n/a

14.13

(1997 YM9)

 2006-May-20

0.1154

44.9

30 m - 66 m

4.55

* Diameter estimates based on the object's absolute magnitude.

 

Beaucoup ont noté la présence de l’astéroïde 2006 GY2 devant passer au plus près de la Terre le 16 MAI 2006 à 0,0171 UA, soit à environ 2,6 millions de kilomètres au milieu de l’essaim de fragments SW-3. La taille (500/1000 m) et la vitesse (20 km/s) du bolide ont de quoi impressionner. Nous y reviendrons.

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La taille des fragments de la comète 73P/SW-3 ne nous est pas communiquée. Mais aucun fragment de moins de cinquante mètres ne sera vu avant le 15 mai, voire le 20 mai. Que dire d’un objet de 20 mètres de diamètre, d’un poids de 15 tonnes lancé à 54 000 kilomètres/heure (15 km/s) ? Que dire si cet objet est accéléré par la gravité terrestre en vertu d’une trajectoire presque parallèle sur des millions de kilomètres ? Pourrait-il atteindre 40 km/s, comme je l’ai indiqué dans mon premier article, et avoir la puissance de quelques centaines de bombes atomiques pour ébranler la dorsale médio atlantique ?

 

 

Nous voyons immédiatement dans la figure ci-dessus qu’il ne s’agit aucunement d’un « collier de perles » comme annoncé ici et là. A l’origine, en 1995, les astronomes aperçurent quatre fragments puis trois (A, B, C), le quatrième ayant été vaporisé et/ou rendu invisible par sa taille. Compte tenu de la distance séparant les groupes entre eux nous en déduisons une activité « anormale ». En effet, les trois fragments d’origine (A,B,C) sont devant, sur la trajectoire du fragment A. Quelque chose a donc freiné le fragment S, soit dans une petite explosion ayant éloigné en sens opposé Y et S, soit par un freinage volontaire. Dans les deux cas, il y a aucune raison pour qu’il n’y ait pas d’autres fragments autour, et surtout derrière S.

 

Nous voyons que le fragment S est un candidat extrêmement sérieux pour une collision avec la Terre. Si ce n’est le fragment S, ce peut être un fragment, encore inobservable à l’heure où j’écris, se trouvant à l’arrière de celui-ci. Observons l’alignement du « collier de perles ». Le plan de l’écliptique est représenté ci-dessous par une ligne droite verte.

 

 

 

Dans les deux schémas suivants nous visualisons la trajectoire que le fragment S, ou un autre issu de S, peut emprunter. Vue de dessus (première figure ci-dessous) la trajectoire de collision est parfaitement inscrite entre les extrêmes.

 

 

De même, compte tenu des écarts de distance en hauteur dans une vue « de profil », il n’est pas improbable qu’un fragment se dirige vers la Terre sur une trajectoire « parallèle » aux autres (voir ci-dessous). L’écart angulaire entre les pentes bleues et orange n’est que de 5°, identique à l’écart entre les trajectoires « connues » après le plan de l’écliptique (ici représenté par une ligne droite verte). Autrement dit, il n’y a, là aussi, aucune hérésie à envisager la déviation d’un fragment vers la Terre, d’autant que le vent solaire, constitué de milliards de particules de matière, fait dériver sensiblement les plus petits fragments vers notre planète, comme un ballon dans une brise matinale.

 

 

Puis-je rappeler que j’ignorais jusqu’à l’existence même de la comète lorsque j’ai reçu la date du 25 MAI 2006 pour la réalisation de mes visions de catastrophe dans l’Atlantique ? Il importe de prendre quelques précautions dans l’hypothèse où certains affirmeraient qu’il était évident qu’un tel événement devait survenir. C’est grâce aux extraterrestres que j’ai beaucoup appris sur l’homme…

 

En réalité, en dépit des apparences, les chances OBJECTIVES d’une catastrophe sont statistiquement très minces. C’est pourquoi, lorsque cela arrivera, les raisons de celle-ci, l’intervention des extraterrestres pour raison d’armes nucléaires, resteront gravées dans la mémoire des peuples car une telle intervention est nécessaire !

 

Pour être complet sur la question, nous devons présenter une alternative au scénario que j’ai présenté. Vous trouverez ci-dessous les trajectoires relatives (vue de dessus et de profil) de trois groupes d’objets pour les dates du 1er, 5, 15 et 25 MAI 2006. Ces trois groupes sont le groupe des fragments B-X, S et l’astéroïde 2006 GY2 dont j’ai parlé plus haut. Aux trois dates indiquées prises indépendamment, il n’y a aucun risque, ainsi que l’indique clairement les figures. A gauche se trouvent les vues de dessus, à droite les vues de profil. L’astéroïde 2006 GY2 est en soit un danger potentiel avec son point au plus près de la Terre de 0,0171 UA (16 MAI 2006), un diamètre de 500 à 1000 mètres et une vitesse d’approche relative par rapport à la Terre de 20 km/s.

 

 

 

 

 

 

 

Mais le vrai danger est peut-être indirect. En effet, cet astéroïde 2006 GY2 passera au milieu du groupe de fragments SW-3B-X qui forme en fait un essaim beaucoup plus grand que sur les figures (voir les figures des pages précédentes). Ce danger vient à la fois de sa trajectoire convergente au pire moment (approche au plus), de sa taille d’un kilomètre de large et de sa vitesse relative de 5 km/s (20 km/s (astéroïde) moins 15 km/s (comète)) représentant tout de même 18000 kilomètres/heure, dix-huit fois la vitesse du son. Cette vitesse de rapprochement constitue un très grand danger pour la Terre car le ou les fragments percutés seraient non seulement déviés vers la Terre, mais auraient, en plus, acquis une vitesse accrue de collision, augmentant terriblement la puissance de frappe de l’objet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SW-3B représente ici un groupe de 40 fragments !

 

 

 

La preuve par les crop circles.

 

La plupart des gens prennent les cercles de culture pour un faible matériau de preuve. Je vais montrer pourquoi les crop circles présentés sont des confirmations décisives de la vision de catastrophe que j’ai eue pour le 25 MAI 2006. Encore une fois, il ne s’agit aucunement de la fin du monde mais d’une catastrophe majeure !

 

Tout d’abord, je suggère que ceux qui doutent de l’importance des crop circles abordent « la Science des Extraterrestres »[24] où leur formation est expliquée simplement. Les figures ci-dessous en donne le principe général en montrant l’effet du champ de plus grande densité temporelle d’un vaisseau lumineux sur les épis de blé. Sans entrer ici dans le détail, ce champ humidifie les épis, les ionise, les contracte et les attire dans un puissant champ magnétique pour les faire chuter au sol et former ainsi des figures dans les céréales.

 

 

 

Les extraterrestres connaissent-ils vraiment le futur ? Sont-ils vraiment les créateurs des crop circles. Un article écrit par Andy Thomas décrit la création d’un cercle de culture en 1994 désigné par le simple nom « galaxie »[25].

 

 

Une étude approfondie de la configuration galactique de ce crop circle par Jack Sullivan, un astronome amateur, donne sans aucun doute possible une date dans le futur : le 6/7 avril 2000 !

 

Que s’est-il passé dans la nuit du 6 au 7 avril 2000 ? L’une des plus grosses éruptions solaires du siècle, menaçant de coupures les communications satellitaires ainsi que le précise Andy Thomas[26]. Comment un crop circle peut-il prévoir avec une telle précision un événement céleste de cette nature si ce n’est en obtenant cette information du futur ? La Relativité Absolue permet d’envisager cet exploit sans difficulté en redéfinissant la nature même du temps et les règnes de l’évolution.

 

 

 

Pourquoi montrer du doigt le soleil dans le crop circle « galaxie » ? Andy Thomas évoque les travaux de Maurice Cotterell établissant le lien entre l’émergence et la chute des civilisations, les radiations solaires et les cycles du soleil. Mais il n’est pas le seul. Jean-Pierre Garnier Malet[27], docteur en physique, a également démontré la pertinence de ce lien, notamment pour 2012, en mettant à profit le message du crop circle ci-dessous. Il en a tiré des conclusions révolutionnaires pour la science, en parfaite adéquation avec le fruit de mes communications scientifiques avec les extraterrestres.

 

Partant du crop circle ci-dessous…

 

 

Il en a déduit la théorie du dédoublement induisant l’existence d’un temps accéléré…

 

   

 

Il vient ainsi donner un poids considérable à l’idée du temps fractal à la base même de la technologie des extraterrestres ainsi que je l’ai présentée dans la Science des Extraterrestres. Il donne des éléments clés pour comprendre comment les extraterrestres dépassent allégrement la vitesse de la lumière. Le schéma ci-dessous montre les bulles temporelles imbriquées comme des poupées russes autour d’un vaisseau, nous rendant son comportement absolument incroyable et pourtant d’une simplissime logique.

 

 

 

Nous voyons que l’interprétation des crop circles est un exercice d’expert. Il existe d’autres exemples où des individus, au sein même de la communauté scientifique, ont mis à profit les messages des crop circles pour aboutir à d’incroyables innovations conceptuelles. Je n’ai pas la place pour un traité sur les cercles de culture authentiques (d’origine extraterrestre) et leur contribution directe et majeure à la science.

 

Les deux crop circles liés au 25 MAI 2006 amène à présenter brièvement la théorie de l’anomalie. Cette théorie est celle qui préside au mode de communication efficace des extraterrestres dans les champs de blés. Il fait appel à notre plus haut degré d’intelligence à travers un langage symbolique et signifiant.  

 

C’est la raison pour laquelle les crop circles ne sont pas traduisibles par tout le monde mais par des êtres humains intellectuellement évolués au sens qualitatif. Il n’y a qu’une poignée d’hommes sur Terre capable d’interpréter correctement les crop circles. On pourrait même dire que pour chaque message existe un seul récepteur dont le domaine de recherche correspond précisément au message. Ainsi, non seulement les vrais crop circles se distinguent des canulars par leurs nombreuses et anormales caractéristiques physiques, mais aussi à cause de leur signification rigoureusement orientée. Il existe trois niveaux d’évolution pour intelligence.

 

L’intelligence causale est celle de l’homme moyen qui établit des relations de cause à effet entre les phénomènes. C’est le rôle de la science actuelle au travers, notamment, des équations.

 

L’intelligence du sens est celle de l’intuition où des liens de signification sont établis entre des situations et indices apparemment sans relation. L’intelligence évoluée, celle des extraterrestres, est symbolique et subtile car elle parle par images et association d’idées.

 

L’intelligence créatrice est le stade le plus élevé. Elle supplante toute relation causale, subtile ou non, en créant psychiquement toute situation. C’est le niveau divin de la parfaite visualisation, celui de l’art pur.

 

La communication des extraterrestres avec les hommes au travers de cercles de culture suppose un objectif et un langage particulier de leur part. Les extraterrestres sont des intelligences évoluées s’exprimant dans un langage élaboré. Ils connaissent notre niveau technique et scientifique. Ils n'ont donc aucun intérêt à nous montrer simplement ce que nous pouvons vérifier par nous-mêmes, comme la date exacte de telle ou telle configuration planétaire. Il ne s’agit pas de singes attendant une récompense après avoir réalisé une imitation de notre savoir. Cela n’a littéralement aucun sens. Ils n’ont pas besoin de montrer la supériorité de leur intelligence. Les miracles de leur technologie sont, à cet égard, un message suffisamment désobligeant pour l’homme.

 

En revanche, ils ont intérêt à glisser un défaut afin que nous nous posions les bonnes questions. C'est le principe même de la communication pertinente : attirer l'attention, et transmettre un message de réflexion. Comme dit Le Petit Prince de Saint-Exupéry, « la rose n’a d’importance que lorsqu’on s’en occupe ».

 

Dans le cas de la "Terre Manquante", non seulement la Terre est absente mais elle l'est pour une raison précise. Non pas parce qu'elle serait à plusieurs endroits différents en fonction des années ayant des configurations identiques - tout le monde sait que les planètes intérieures sont rapides et retrouvent souvent des positions similaires - mais parce que nous sommes sensés nous demander : « où est passé la Terre ? ». Et par dessus tout : « pourquoi a-t-elle disparue ? »

 

 

Ainsi, la date du 14 mai 2006 est parfaite car, dans l'image de la Terre qui rencontre la comète pour la configuration proposée, le "défaut" de la position de Mars suggère que l'événement dont les extraterrestres veulent nous parler est APRES le 14 MAI 2006. C'est pour cette raison que Mars, dans ce crop circle, est légèrement au-delà de la position réelle du 14 MAI 2006 (simulation NASA), date de l'approche de la comète au plus près de la Terre, dont chacun pourrait penser qu'elle est propice à une collision.

 

Pourquoi avoir choisi Mars plutôt qu'une autre planète ? Parce que c'est Mars que SW-3 va d'abord "apercevoir". Mars indique donc par où va venir le danger correspondant à la "Terre manquante".

 

De même, le crop circle de 1995 pointant sur le 6 septembre 2003 montre une "anomalie" : l’intrus proche de Vénus. La question que nous posent les extraterrestres alliés est : « vous avez reconnu le 6 septembre 2003 (observez ce qui va se produire à cette date), mais avez-vous compris la raison de ce point particulier sur la trajectoire de la Terre en lien avec le 6 septembre 2006 ? » La réponse est que la question du référendum mondial, que j’ai reçu le 6 septembre 2003, est lié à la collision de la comète. Il tente de la prévenir. Il faut donc relire le message des extraterrestres bienveillants, "Désirez-vous nous voir apparaître ?"[28]  En voici quelques extraits :

 

« La Paix et la réunification de vos peuples seraient un premier pas vers l'harmonie avec d'autres civilisations que la vôtre.

Ce message n'aurait aucun intérêt si le tutorat de ces manipulateurs ne parvenait à son apogée et si leurs desseins, trompeurs et meurtriers, n'aboutissaient dans quelques années. Leurs échéances sont proches et l'humanité connaîtra des tourments jamais égalés pendant les dix prochains cycles.

Nous pouvons vous offrir une vision plus globale de l'univers et de la vie, le témoignage d'interactions constructives, l'expérience de relations équitables et fraternelles, des connaissances techniques libératrices, l'éradication de la souffrance, l'exercice maîtrisé des pouvoirs individuels, l'accès à de nouvelles formes d'énergie et, enfin, une plus grande compréhension de la conscience.

Le danger s'éloignerait de vos demeures car vous forceriez indirectement les indésirables, ceux que nous appelons la troisième partie, à se montrer et disparaître. Vous porteriez le même nom et auriez les mêmes racines : l'Humanité !

Traduisez et diffusez largement ce message ! Cette action engage votre avenir de façon irréversible avec un impact historique à l'échelle des millénaires, ou reporte à plusieurs années, d'une génération au moins, si celle-ci survit, une nouvelle possibilité de choisir.

Ne pas choisir, c'est subir le choix des autres. Ne pas informer les autres, c'est risquer d'obtenir un résultat contraire à ses attentes. Rester indifférent, c'est renoncer à son libre arbitre. »

 

Le crop circle du 6 septembre 2003, appelé bizarrement « l’astéroïde », possède donc un intrus dans la représentation du système solaire intérieur.

 

 

On peut aisément imaginer qu’il s’agisse d’un objet potentiellement dangereux, en l’occurrence SW-3, puisqu’il se trouve sur la trajectoire de la Terre.

 

 

 

 

Nous pouvons remarquer que l’intrus renvoie à une autre anomalie dans cet agroglyphe, celle de la ceinture d’astéroïdes sur l’orbite de Mars alors qu’elle est en réalité bien au-delà. Elle ne devrait pas y être ! Les astéroïdes sont nombreux et représentent un danger de collision pour les planètes, tout comme le sera l’intrus dans un proche avenir. D’ailleurs, les astéroïdes sont disposés de façon assez anarchique dans le dessin (« astéroïde »), contrairement à un alignement rigoureusement circulaire dans le premier cercle de culture (« Terre manquante »). Ce message astéroïdal pourrait même décrire la multiplicité de l’objet situé sur la trajectoire de la Terre, c’est-à-dire sa fragmentation !

 

Notons que l’intrus est légèrement à l’intérieur de l’orbite terrestre, tout comme SW-3 au moment de croiser le plan de l’écliptique. Pourquoi serait-ce cette comète plutôt qu’un autre objet ?

 

Pour la simple raison que ce crop circle indique une date, le 6 septembre 2003, date de réception d’un MESSAGE EXTRATERRESTRE DE PAIX : « Désirez-vous nous voir apparaître ? ». Il s’agit d’un référendum mondial diffusé essentiellement sur Internet dans plus d’une centaine de pays, historiquement le plus connu au monde. La relation de ce message avec l’intrus ne fait aujourd’hui aucun doute. Celui qui a reçu le message est aussi celui qui reçut la date de collision de la comète - en PARFAITE ADEQUATION avec des données scientifiques - le 25 mai 2006 !

 

Pourquoi l’objet est-il à côté de Vénus plutôt que sur sa trajectoire elliptique autour du soleil ?

 

A la date du 6 septembre, SW-3 était encore très loin du système solaire intérieur. Ce qui est remarquable, en revanche, est de constater que l’intrus est à l’opposé de la position orbitale terrestre. Le message de paix correspondant à ce crop circle semble trancher avec un message de guerre et de destruction, comme pour signaler le danger d’un affrontement venant d’une origine extraterrestre, différente des créateurs de ce crop circle. Le danger est bel et bien extraterrestre puisqu’il est hors de notre planète, d’où sa représentation sous forme astronomique.

 

Vénus, symbole de l’amour dans notre subconscient, n’est peut-être pas étrangère aux solutions fraternelles proposées par le référendum mondial pour résoudre la menace de guerre. C’est pourquoi, au travers du message mondial, Vénus protège la Terre de l’influence de l’intrus. Ce dernier est fortement lié à Mars, symbole subconscient de force, de guerre et de destruction. Une alternative est donc proposée à l’humanité.

 

Mars est en réalité représenté cinq fois dans ce crop circle de « l’astéroïde », focalisant notre attention, par une incroyable précision mathématique ainsi que l’a brillamment démontré Jack Sullivan[29], sur l’année que ce message désigne : 2003. Mars occupe dans cette figure exactement les positions d’un cycle de huit ans sur sa propre orbite, Or, huit ans, c’est aussi le nombre d’années séparant l’année de création de cet agroglyphe (1995) de l’année indiquée dans celui-ci (2003) !

 

L’aspect remarquable du symbole de Mars, menaçant la Terre d’une pluie d’objets (SW-3 fragmentée), est que, souvenez-vous, cette planète fut, et ce depuis des siècles au plan astronomique, au plus près de la Terre seulement quelques jours AVANT le 6 septembre 2003, comme l’intrus sera réputé être au plus près AVANT le 25 mai 2006, ainsi que l’indique le crop circle de la « Terre manquante ». Le plus incroyable est que les cinq positions de mars correspondent aussi aux conjonctions inférieures de Vénus (au plus près de la Terre), symbolisant l’influence ponctuelle de l’amour dans la conscience des hommes par un message de paix (« désirez-vous nous voir apparaître ?).

 

Mais qu’ont fait les hommes de ce message traduit dans plus de quinze langues ces trois dernières années ?

 

Beaucoup se sont mobilisés. C’est pourquoi en plusieurs lieux du monde, APRES la diffusion de ce message « désirez-vous nous voir apparaître ? », pour la première fois de l’histoire de l’ufologie, des dizaines, voire des centaines de lumières ont été aperçus dans les cieux, ainsi que le démontrent les photos ci-dessous, sans qu’aucune explication naturelle ou technique ne viennent démentir cette démonstration de bonne volonté des extraterrestres bienveillants.

 

   

 

Mais cette mobilisation est pour l’instant malheureusement trop faible pour atteindre le seuil critique nécessaire à une apparition massive de vaisseaux matériels ainsi que le propose ces alliés extraterrestres.

 

Les deux crop circles de 1995, « Terre manquante » et « astéroïde », sont intimement liés. L’ordre chronologique d’apparition de ces crop circles est exactement celui des dates symbolisées dans celles-ci : le 20 juin pour « l’astéroïde », le 25 juin pour la « Terre manquante ». D’abord un message de paix de nos alliés, ensuite un message de guerre de nos adversaires. Lorsqu’on compare le tracé des deux crop circles, on voit une nette différence stylistique, suggérant des auteurs de faction différente. La boucle est bouclée.

 

Ces deux crop circles ont été faits la même année, en 1995, juste après le lancement en 1994 de la Guerre des Etoiles par l’administration Clinton dans sa version allégée. Mais l’administration Bush en a fait son fer de lance depuis son accession au pouvoir. C’est pourquoi le danger de collision n’existe que maintenant, au moment où nous nous apprêtons à nous engager dans un conflit nucléaire !

 

Nous n’avons maintenant plus beaucoup de temps pour changer le cours de l’histoire. Sachez que je ne gagne strictement rien à vous prévenir de ce danger. C’est même précisément le contraire. Mais à défaut de vous montrer ce que j’ai vu, et la souffrance que j’ai ressentie, j’ai tenté de vous présenter autant d’éléments déterminants et vérifiables que possible.

 

Pourquoi prendre dès aujourd’hui des précautions et alerter tous ceux que vous pouvez ? Ceux qui, aussi brillants soient-ils, vous disent que rien ne se passera le 25 MAI 2006 ne seront pas là pour vous tendre la main le moment venu pour vous sauver.  Ils diront juste : « Mon Dieu ! Quelle horreur ! »

 

Mais vous ne serez plus là pour vous exprimer…sauf si vous pensez par vous-mêmes dès maintenant.

 

huge-jaws-surf

 



[1] Article du 11 avril 2006 sur http://www.exopoliticsinstitute.org/EricJulien-Fr.htm

[2] http://www.gfz-potsdam.de/news/recent/archive/20041226/images/Downloads/Sumatra-20041226-Tsunami-Wave-Propagation-Time-en.gif

[3] La Science des Extraterrestres, Eric Julien, JMG Editions, Juillet 2005.

[4] http://www.exopoliticsinstitute.org/Eric-Julien-extrait-Montagne.doc

[5] Enfants des Etoiles, Désirez-vous nous voir apparaître ?, Eric Julien, JMG Editions, avril 2006.

[6] http://www.objetvolant.com/html/modules.php?name=Forums&file=viewtopic&t=5755&start=0

[7] http://www.astrosurf.com/saf/

[8] http://perso.wanadoo.fr/pgj/periode-f.htm

[9] http://perso.wanadoo.fr/pgj/index.htm

[10] http://neo.jpl.nasa.gov/cgi-bin/db_shm?sstr=biela&group=com&search=Search

[11] http://perso.wanadoo.fr/pgj/periode-f.htm

[12] European Space Agency

[13] Voici un extrait de correspondance reçue en privé évoquant ce canular : ”that beautiful and charismatic that the geometrical design was used in 2001 to create a man-made (hoaxed) replica of it in the East Field near Alton Barnes in Wiltshire, England. This copy was made for a movie-project but was planed to be conducted like a real hoax...under "real" circumstances (even if the farmer was paid) but the hoax went wrong and the hoaxers were caught in the act already soon after midnight by several researchers...also the hoaxing took them until the early morning into the sunlight and I guess it was something like 8:00 or 9:00 in the morning when they finished. The ground floor looked in some places very rough but also not too bad...but it was a very obvious hoax.”

[14] Extrait du communiqué de presse de l’ESA : “On August 20, it was observed by a Japanese amateur astronomer at magnitude 13, quite normal for this comet at the given heliocentric distance. This corresponds to about 700 times fainter than what can be seen with the unaided eye”.

[15] http://www.eso.org/outreach/press-rel/pr-1996/pr-01-96.html

[16] http://www.eso.org/outreach/press-rel/pr-1996/pr-01-96.html

[17] http://perso.wanadoo.fr/pgj/periode-f.htm

[18] http://www.eso.org/outreach/press-rel/pr-1996/pr-01-96.html

[19] La Science des Extraterrestres, Eric Julien, Editions JMG, Juillet 2005.

[20] http://www.exopoliticsinstitute.org/Journal-vol-1-3-Julien.doc

[21] http://neo.jpl.nasa.gov/cgi-bin/db?rec=900444

[22] http://science.nasa.gov/headlines/y2006/24mar_73p.htm

[23] http://neo.jpl.nasa.gov/ca/

[24] La Science des Extraterrestres, Eric Julien, JMG Editions, Juillet 2005.

[25] http://www.swirlednews.com/article.asp?artID=659

[26] “On the night of 6/7th April 2000, one of the largest solar storms of the century erupted on the Sun, flooding the Earth’s ionosphere with particles and creating the widest sighting of the aurora borealis across the UK and other parts of Europe for many years, usually being restricted to more northern regions (…) The solar storm, caused by an enormous flare thrown out by the Sun as it approached its eleven-year peak of sunspot activity, had been measured by some observatories as a G4 event on a scale of 1 to 5 – very big, threatening satellite communications and other electronic systems”.

[27] http://www.garnier-malet.com/resume_theorie.htm

[28] http://www.geocities.com/changetheworld_now/french.htm

[29] http://www.swirlednews.com/article.asp?artID=659